Située à 30 minutes du Mans, Mayet est une commune Sarthoise peuplée de 3200 habitants, les Mayetais. Mayet jouit d’une situation géographique idéale, puisque placée à 30 km du Mans, 50 km de Tours et environ 80 km d’Angers.
Ouverte sur l’Europe, la ville est jumelée avec la commune de Lichtenau (Allemagne). Au cœur de la Vallée du Loir et à l’orée de la Forêt de Bercé, Mayet est l’une des communes les plus étendues de Sarthe sillonnée par 42 km de voies communales et 150 km de chemins ruraux. Commune étalée, Mayet dispose de 54 km2 de superficie de terrains et d’habitations, mais surtout d’une place principale (dont l’aménagement date du 19ème siècle), qui regroupe boulangerie, bar, église, hôtel de ville, restaurant…Un marché se tient sur cette place tous les dimanches matin, c’est un endroit où il fait bon vivre.
Une zone industrielle munie d’une dizaine d’entreprises, notamment dans le domaine de la construction, est notable sur la commune. Un Ehpad situé vers le centre de la commune propose plus d’une centaine d’emplois.
Dotée d’une école maternelle et primaire, et d’un collège, la commune accompagne les enfants dans leur processus scolaire avant de rejoindre le lycée.
Le complexe sportif de Mayet a tout pour plaire à ses habitants. Tennis, football, tennis de table, pétanque, badminton, yoga, basket, natation et arts martiaux, un grand panel de sports est proposé aux habitants. Au total, ce ne sont pas moins de 46 associations qui sont installées dans la ville, on peut également retrouver à Mayet une amicale de pêcheurs, de chasseurs, de jeunes sapeurs-pompiers, une association du patrimoine, de randonnée, de musique, et bien plus… Mayet est une ville dynamique.
Autrefois région essentiellement agricole, proche de la forêt de Bercé célèbre pour ses chênes, l’arrivée du train Le Mans-Tours au XIXe siècle, oriente la cité vers la petite industrie, scierie Cavé, fabrique de corde Franchet, aujourd’hui la Sofac fabrique les cartonnages et les calendriers.
Haut lieu d’implantation de la télévision au milieu du XXe siècle, à la fin du XXe siècle la protection du « pique-prune » fait reculer l’arrivée de l’autoroute d’une dizaine d’année, enfin le XXIe siècle s’ouvre avec la remise en état du petit patrimoine (lavoirs, lucarne, anciennes demeures…) et la percée de l’autoroute en lisière de la forêt domaniale, le remembrement permet une utilisation plus performante des surfaces agricoles,
une meilleure utilisation de l’eau. La nappe phréatique affleure sur le canton en différents points ; elle alimentait les thermes romains près du Loir à Cherré, commune d’Aubigné).
