Située à une vingtaine de minutes du Mans, 70 km d’Angers et 95 km de Tours, Cérans-Foulletourte est une commune plutôt stratégique, de part sa proximité avec les Grandes villes, mais aussi grâce à sa départementale, la D323 qui relie la commune à la Flèche et à la périphérie du Mans.
Plutôt ouverte sur le reste de la Sarthe, elle est jumelé avec les communes de Visbek (Allemagne) et Chapel St Leonards (Royaume-Uni), Cérans-Foulletourte est une commune qui a la particularité d’être « divisé » en deux par la D323, avec d’un côté la partie lotissement, et de l’autre, la place centrale de la ville d’un côté, et les écoles/collèges, stades/salles de sport, etc… .
Peuplé de 3 379 céranais, Cérans-Foulletourte, d’une superficie de 32 km², est assez attractive car possédant de nombreux espaces verts, commerces, activités, ainsi qu’une rivière traversant la commune de part et d’autres, le « Fessard ». C’est un parfait mix entre ville et campagne, un endroit où il fait bon vivre.
La commune à tous les attributs nécessaires au bon fonctionnement de celle-ci, Une école maternelle/primaire, un collège, un complexe sportif complet ainsi que de nombreuses associations (basket, danse, tennis de table, yoga, etc…)
Cérans-Foulletourte est très chargé en histoire, en effet en 1943 en pleine guerre, un dénommé Alfred Auduc réussit à s’évader d’une prison nazie où il était fait prisonnier.
Il décide donc de rentrer au Mans et de créer un réseau de résistance avec André Dubois (qu’on connaissait sous le nom de « Hercule »),
Le réseau « Hercule Buckmaster » qui a été un des plus gros et important de France. Ils reçoivent des parachutages, cachait de l’armement,
organisent des actes de sabotage et faisait du renseignement. Le réseau était établie au Mans et à Cérans-Foulletourte,
le moyen de communication n’était autre que le petit de la famille Auduc, Jean Jacques Auduc, qui, alors qu’il n’avait que 10 ans faisait presque tous les jours l’aller retour entre ces deux villes en vélo !
